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Chroniques du 23 Septembre.

Sommaire

23 Septembre

Dans le calendrier Grégorien, le 23 Septembre (parfois le 24 !) est déterminé comme date d’équinoxe d’automne.

Pour expliquer l’équinoxe, il faut remonter à la notion d’Écliptique. En astronomie, c’est le trajet apparent du Soleil sur la sphère céleste au cours de l'année, vu depuis la Terre ; il matérialise donc le plan de notre orbite. 'écliptique doit son nom au fait que les éclipses surviennent uniquement lorque la Lune, dans son mouvement autour de la Terre, traverse le plan de l'écliptique, quand elle masque le Soleil.

L'autre mouvement apparent des étoiles dans notre ciel est dû à la rotation de la Terre en environ 24 heures : le plan qu'elle définit sur la voûte céleste est appelé pour sa part équateur céleste (puisqu'il est la projection de l'équateur terrestre dans le ciel).

L'axe de rotation de la Terre est incliné par rapport au plan de son orbite ; cet équateur céleste recoupe l'écliptique en formant un angle d'environ 23°27‘. Cet angle d’inclinaison de l'écliptique a une valeur cyclique ; il diminue de 48 secondes d'arc par siècle et atteindra un minimum de 22°54‘ dans 3.000 ans pour alors augmenter.

Les deux plans de l'écliptique et de l'équateur céleste se recoupent en deux points de l'orbite terrestre, qui correspondent aux équinoxes et marquent le début du printemps et de l'automne, respectivement le 21 mars et le 23 septembre dans l'hémisphère Nord.

À mi-chemin entre les équinoxes se situent les solstices d'hiver et d'été, le 22 décembre et le 21 juin. Les points de recoupement de l'écliptique et de l'équateur céleste ne sont pas fixes dans l'espace : l'axe de rotation de la Terre change en effet lentement d'orientation, décrivant un cône en 25 868 années, et la projection de l'équateur céleste glisse à ce rythme le long de l'écliptique. Appelé précession des équinoxes, ce phénomène nécessite d'apporter des corrections aux tables astronomiques, pour rendre compte de la position réelle des étoiles dans le ciel.

L'écliptique sert aussi de principal système de coordonnées en astronomie, appelé système écliptique. La latitude céleste se décline au nord et au sud de l'écliptique!; la longitude céleste est mesurée d'est en ouest par rapport à l'équinoxe de printemps.

En astrologie, l'écliptique est divisée en douze arcs de cercle de 30° chacun, appelés signes du Zodiaque. Ces signes, ou "maisons célestes", sont nommés d'après les constellations que traverse l'écliptique.

1122

Le Concordat de Worms met fin à la querelle des Investitures entre le Pape et l’Empereur.

Le 23 septembre 1122 fut signé par le pape Calixte II et par l’empereur Henri V le concordat de Worms qui mit fin à la querelle des Investitures, en délimitant les attributions spirituelles et temporelles du pape ainsi que celels de l’empereur lors de la nomination des évêques.

Ayant pour origine un établissement celte du nom de Borbetomagus, la ville de Worms possède de nombreux vestiges de l’occupation romaine. Au Moyen Âge, la ville est appelée Vormatio. Il semble que la prospérité à cette époque ait été assez remarquable, comme en témoignent les édifices qui subsistent.

La cathédrale, consacrée en 1.018 et rebâtie à la fin du XIIe abrite les restes de l’arrière-grand-père de Conrad II, le duc Conrad le Roux, tombé aux côtés du roi de Germanie Othon le Grand à la bataille du Lechfeld qui permit en 955 d’arrêter les invasions magyares.

Ville libre impériale au XIIe siècle, le commerce médiéval y entraîna une certaine liberté de circulation. La colonie juive était alors nombreuse à Worms. Les inscriptions hébraïques dans le cimetière permettent de reconstituer l’importance de cette communauté établie depuis le XI° siècle.

Worms fut le lieu de nombreuses réunions importantes. Le Concordat en 1.122, mais aussi la diète de 1495. Maximilien Ier y fit proclamer une "paix perpétuelle", et installa dans la ville le tribunal d’Empire qui devait empêcher les guerres privées. Une autre diète célèbre s’y tint en 1521 lorsque Luther fut convoqué devant l’empereur Charles V ; à cette occasion fut proclamée la mise au ban de l’Empire du grand réformateur. La diète ordonna la destruction de ses ouvrages. Cependant, peu de temps après, la ville de Worms adopta la Réforme.

1525

Condamnation par le Grand Inquisiteur de la secte des Alumbrados, libertins spirituels, partisans des raffinements des plaisirs de la chair, qui conquièrent la sympathie de plusieurs milliers de partisans, du peuple comme de l’aristocratie.

Proches des Libertins spirituels, qui furent dénoncés par Calvin, les alumbrados ou illuminés, signalés en Espagne au XVIe siècle, voyaient dans les affinements de l’amour charnel la réalisation de l’amour divin, dont chacun porte l’étincelle. Initialement suspectés d’illuminisme, Jean de la Croix et Thérèse d’Ávila insisteront, en revanche, sur la macération, qui fonde une mystique contemplative en accord avec l’orthodoxie.

Le terme alumbrado , apparu incidemment en 1498 et en 1512, se vulgarise en 1525 pour qualifier le groupe constitué à Tolède autour d’Isabel de la Cruz, qui rencontre la faveur du peuple comme de l’aristocratie. Le grand inquisiteur Manrique promulgue, le 23 septembre 1525, un édit contre les alumbrados mais il y mêle des propositions de la Réforme, afin d’amalgamer dans une commune réprobation les idées du protestantisme et une doctrine que Luther et Calvin tiennent en exécration.

Dans le même temps, un courant se développe à Salamanque avec Francisca Hernandez, Gil Lopez, Antonio de Medrano, Bernardino Tovar. L’Inquisition réagit en 1529 et condamne Isabel de la Cruz à la prison à vie. À Salamanque, Francisca Hernandez échappe au bûcher en dénonçant comme luthériens son amant et une quinzaine de ses amis, qui jouissent régulièrement en " communion spirituelle ". Cependant, à Séville, les alumbrados sont si nombreux que l’Église renonce à intervenir.

En 1578, un groupe d’alumbrados est dénoncé à Llerena, en Estrémadure. L’enseignement y est prodigué par Fernando Alvarez et le père Chamizo, à qui il est reproché d’avoir initié trente-quatre personnes aux "jouissances célestes".

Selon Alfonso de Santa Cruz, "ils disent que l’amour de Dieu dans l’homme est Dieu, ils affirment que l’extase conduit à une telle perfection qu’ils ne peuvent plus pécher, que l’illumination rend libre et délie de toute autorité, si bien qu’ils n’ont de compte à rendre à personne, même pas à Dieu".

On a voulu rattacher aux alumbrados les guérinets (partisans de l’abbé Guérin) persécutés en 1634 en Picardie et en Flandre.

1836

Mort à 28 ans d’une célèbre cantatrice et courtisane, La Malibran. Cfr Chroniques à ce sujet.

1877

Mort à l’âge de 66 ans, d’Urbain Jean-Joseph Le Verrier, une des plus importantes figures de la mécanique céleste au XIXe siècle.

La brillante découverte qu’il fit, par le calcul, de la planète Neptune a frappé l’imagination du grand public en montrant la puissance de la science. L’entreprise colossale que fut la construction de théories complètes des mouvements des planètes contribua à assurer durablement la place éminente que les Français avaient conquise dans le domaine de la mécanique céleste depuis Clairaut, d’Alembert, Lagrange et Laplace. Enfin, le rôle que joua Le Verrier dans le développement de l’Observatoire de Paris permit à cet établissement de devenir le centre de recherche de premier ordre qu’il est toujours resté.

Urbain Jean Joseph Le Verrier naît le 11 mars 1811 à Saint-Lô, de Louis Baptiste Le Verrier, surnuméraire dans l’administration des Domaines, et de sa femme Marie-Jeanne, née de Baudre. Élève au Vieux-Collège de Saint-Lô, au Collège royal de Caen puis au collège Louis-le-Grand à Paris, il entre à l’École polytechnique en 1831.

D’abord ingénieur dans l’administration des Tabacs, il s’intéresse ensuite à la chimie et se livre à de nombreuses expériences dans le laboratoire de Gay-Lussac ; il publie deux mémoires sur les composés du phosphore. Ayant obtenu en 1837 à l’École polytechnique une place de répétiteur de géodésie et d’astronomie, il se tourne définitivement vers la mécanique céleste.

Rendu célèbre par sa découverte de Neptune, en 1846, il se voit confier en 1854 la direction de l’Observatoire de Paris, dont il va faire un établissement scientifique réputé. Il s’y livre à des travaux de construction de théories planétaires, mais son caractère autoritaire et ses façons hautaines lui aliènent la sympathie de ses collègues et de ses subordonnés. Les conflits deviennent si aigus que Le Verrier est révoqué par un décret impérial de février 1870. Il est remplacé par son rival Charles Delaunay, lui aussi spécialiste éminent dans le domaine de la mécanique céleste et auteur d’une célèbre théorie du mouvement de la Lune.

Delaunay meurt noyé à Cherbourg en 1872 ; en 1874, Le Verrier est replacé à la tête de l’Observatoire ; mais un nouveau statut, prévoyant l’existence d’un conseil scientifique aux pouvoirs étendus, protège désormais le personnel contre les humeurs du directeur. Le Verrier dirigera l’Observatoire jusqu’à sa mort, le 23 septembre 1877.

Député de la Manche en 1849, sénateur sous l’Empire, président du Conseil général de la Manche, Le Verrier avait été élu membre de l’Académie des sciences et du Bureau des longitudes en 1846 et nommé cette même année à la chaire de mécanique céleste de la faculté des sciences de Paris, chaire créée spécialement pour lui.

1923

Naissance de John William Coltrane, compositeur et saxophoniste ténor américain, le plus grand improvisateur de jazz des années 1960.

Né en 1.926, à Hamlet, en Caroline-du-Nord, il fit ses premières armes dans des groupes de rythm and blues avant d'être engagé dans le big band de Dizzy Gillespie. Sa véritable carrière de soliste commença lorsque Miles Davis l'engagea dans son légendaire quintet en 1955. Il commença à enregistrer sous son nom en 1957, ainsi qu'avec Thelonious Monk.

Il fonda en 1960 le quartet avec lequel il révolutionna l'improvisation dans le jazz, accompagné d'Elvin Jones, Reginald Workman et du grand pianiste Mc Coy Tyner. Repoussant toujours plus loin les limites de la complexité harmonique, il apparut comme un grand innovateur, donnant à chaque soliste une liberté alors jamais atteinte.

Son œuvre comprend des standards comme " Giant Steps " ou " Blue Train ", et de longues pièces d'inspiration mystique influencées par les musiques africaines ou indiennes, parmi lesquelles " A Love Supreme " et " Africa " ou " Olé ".

Voyez aussi à cetteboccasion la chronique du 17 Juillet 1967, jour de sa mort.

1943

De terribles bombardement anglo-américains détruisent les installations portuaires de Nantes.

Comme Brest, Nantes paye un lourd tribut à son statut de port de mer.

Le site est déjà occupé à l’époque de la Tène, puis sous les Celtes. L’antique cité gauloise des Namnetes devint sous l’Empire romain un important centre commercial et administratif. Prise par les Normands en 842, conquise par le duc de Bretagne en 936, la ville devint la capitale du duché de Bretagne. Elle fut rattachée à la Couronne de France en 1532 avec la Bretagne.

C’est en 1598 qu’Henri IV y promulgua l’édit de Nantes, fixant légalement le statut des protestants.

Au XVIIe et surtout au XVIIIe siècle, la ville portuaire prit un essor considérable grâce au commerce triangulaire (la traite des Noirs), entre l’Afrique et l’Amérique, et à celui du sucre. Nantes devint alors le premier port de France et les armateurs y firent construire de somptueux hôtels particuliers.

Au cours de la Révolution française, la ville se rangea du côté des républicains. Lors de la guerre de Vendée, de nombreux combats s’y déroulèrent entre révolutionnaires et royalistes. Sous la Terreur, en 1793, des noyades furent organisées pour éliminer les Nantais jugés suspects par le Comité de salut public.

Durant la Seconde Guerre mondiale, Nantes fut occupée par les troupes allemandes et les bombardements alliés endommagèrent de nombreux quartiers de la ville.

Cité universitaire, Nantes compte environ 20.000 étudiants dans son université et ses grandes écoles (école vétérinaire, École supérieure de commerce, École nationale supérieure de mécanique, etc.).

Aujourd’hui c’est le troisième port français et la septième ville du pays. Nantes est un important centre industriel dont les activités sont étroitement liées au trafic portuaire : construction navale (dernier grand chantier français), ingénierie portuaire et off-shore.

Gérés par le Port autonome de Nantes-Donges-Saint-Nazaire, le port et sa zone industrielle voient transiter essentiellement du bois (Nantes est le premier port de France pour cette importation), des primeurs, des fruits, des engrais, du vin et des produits pétroliers.

La ville est également réputée pour son industrie agroalimentaire, ainsi que pour les secteurs de l’aéronautique, de la mécanique, de l’informatique et de la plasturgie (Aérospatial, Matra MHS, Famat, etc.). Nantes s’est lancée dans le domaine de l’électronique avec succès et accueille l’Institut régional d’études scientifiques et des techniques électroniques (l’IRESTE).

La Population en 1.990 s’élèvait à 244.995 habitants, mais l’agglomération, elle, compte aujourd’hui plus de 500.000 habitants.

1973

La junte Chilienne de Pinochet, au pouvoir depuis 12 jours, exécute la " parole " du peuple, le soutien culturel d’Allende, le poète Pablo Néruda (vous pouvez lire à cet effet la chronique du jour).

Pablo Neruda Pablo est le pseudonyme de Ricardo Neftalí Reyes y Basoalto. C’est le poète chilien considéré comme le plus important du XXe siècle. Fils de cheminot, Néruda est né en 1904, à Parral. Il commença à écrire des vers pendant son adolescence, puis poursuivit des études pour devenir professeur.

Son premier recueil, " Crépusculaire " (1923) fut édité à compte d'auteur. En 1924, ses " Vingt Poèmes d'amour " et une chanson désespérée qui célèbre le mystère de la femme, associée à la terre féconde et nourricière (1969) devint un vaste succès, faisant de lui l'un des plus célèbres jeunes poètes d'Amérique latine.

Parmi les œuvres nombreuses de Neruda, citons " Résidence sur la terre " (1933), des vers où s'accumulent les images désespérées d'un monde détruit par la civilisation moderne. L'adhésion à des idées révolutionnaires lui redonna bientôt l'espoir en un monde meilleur, et il s'engagea dans les grands événements de son temps.

Il soutint les républicains pendant la guerre d'Espagne (" l'Espagne au cœur ", 1938). " Chant général " (1950), est une œuvre épique qui évoque l'histoire de l'Amérique latine d'un point de vue marxiste. La richesse du monde culturel et naturel de l'Amérique du Sud y est opposée à la situation politique et sociale, caractérisée par l'exploitation de l'homme et la misère morale.

Très imaginatif, Neruda chemina de la poésie symboliste à la poésie surréaliste et enfin réaliste, renonçant aux structures conventionnelles de la poésie pour adopter une forme d'expression plus simple et plus terre à terre. Son influence sur la poésie de langue espagnole a été considérable, mais sa réputation internationale dépasse de loin les frontières de la langue.

Sa célébrité lui valut d'être appelé à représenter son pays à l'étranger et, de 1927 à 1944, il fut en poste diplomatique en Asie, en Amérique latine et en Espagne. Partisan de la gauche, il joua un rôle important au sein du Parti d'opposition communiste chilien, et devint sénateur de 1945 à 1948. Il fut pourtant contraint à l'exil de 1943 à 1950 par le régime dictatorial en place, en raison de son adhésion au Parti communiste.

En 1970, il fut nommé candidat de son parti à l'élection présidentielle. Il se retira pour laisser la place à son ami Salvador Allende qui fut élu. De 1970 à 1972, il occupa le poste d'ambassadeur du Chili en France.

En 1971, il reçut le prix Nobel de littérature et le prix Lénine pour la paix

1973

Le même jour, le président du parti Justicialiste populaire, Juan Peron, âgé de 67 ans, est plébiscité, ainsi que sa jeune et troisième épouse Isabelita Martinez, vice-présidente, et nommé président de la République d’Argentine.

Il mourra cependant le 1 Juillet 1.974. (Vous pouvez lire la chronique du 1er Juillet 1974).

1991

Indépendance de l’Arménie. Erevan pavoise.

L’Arménie (État), officiellement république d’Arménie (en arménien, Hayastani Hanrapetutyun), pays d’Asie occidentale, situé en Transcaucasie, limité au nord par la Géorgie, à l’est par l’Azerbaïdjan, au sud par l’Iran et la région autonome du Nakhitchevan (Azerbaïdjan), à l’ouest par la Turquie.

La république d’Arménie s’étend sur une superficie de 29 800 km². Sa capitale est Erevan.

Ancienne république de l’URSS, l’Arménie est devenue un État indépendant en 1991 (23 septembre) et a adhéré la même année à la Communauté des États indépendants (CEI). Depuis 1990, un conflit armé ayant pour enjeu le rattachement à l’Arménie de l’enclave du Haut-Karabagh (Azerbaïdjan) oppose les deux États.

Erevan, ville de l'ouest de la république d'Arménie, capitale et plus grande ville du pays, sur le Razdan (affluent de l'Araxe), à 1 000 m d'altitude.

Située dans une région agricole (vergers, vignobles), Erevan est aujourd'hui le premier centre administratif, commercial et industriel de l'Arménie.

L'aménagement hydroélectrique du Razdan a favorisé l'essor de ses industries (métallurgie, constructions mécaniques, textile, agroalimentaire).

Foyer de la culture arménienne, Erevan est une ville universitaire possédant des théâtres, des musées, un opéra et une très riche bibliothèque nationale, le Matenadaran, qui renferme plus de 10.000 manuscrits arméniens anciens (dont l'Évangile d'Etchmiadzine).

Le Musée historique et le musée de la Fondation d'Erevan recèlent de nombreux témoignages archéologiques offerts par les fouilles effectuées dans la ville et ses environs. Celles-ci ont ainsi permis de mettre à jour, sur l'emplacement de la ville actuelle, les vestiges d'une forteresse érigée au VIIIe siècle av. J.-C.

Après avoir été successivement dominée par les Romains, les Parthes, les Arabes et divers autres peuples, Erevan fut rattachée à l'empire du conquérant turco-mongol Tamerlan en 1387. Au XVe siècle, elle passa sous domination perse.

Du XVIIe au XVIIIe siècle, elle fut disputée par les Turcs et les Perses, avant d'être annexée par l'empire russe en 1828, avec l'Arménie orientale.

Capitale de l'Arménie indépendante de 1918 à 1920, Erevan n'était alors qu'une bourgade d'environ 30.000 habitants. Elle devint ensuite la capitale de l'Arménie soviétique, jusqu'à l'indépendance du pays, en 1.991.

La population était estimée en 1.991 à 1.202.000 habitants.

Cam.

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Toutes ces chroniques ont été écrites par Cam (cleclercq@cybernet.be)
Dernière modification le 04/10/98, ©camilist 1998 --- une remarque ?
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